Le conseiller politique de Khalifa Ababacar Sall monte au créneau pour lancer une sérieuse mise en garde à l’endroit des 7 juges du Conseil constitutionnel, qui doivent publier ce dimanche 20 décembre la liste définitive des candidats à l’élection présidentielle du 24 février 2019. Selon Moussa Taye, « le ministre de la Justice et la hiérarchie judiciaire et leurs avocats mercenaires ont lamentablement échoué dans la mission qu’ils avaient reçue de faire éliminer Khalifa Ababacar Sall par la voie judiciaire avant les élections ».
Raison Pour laquelle, selon lui « ils cherchent à tracer la voie au Conseil constitutionnel en prétendant que seuls les candidats admis peuvent faire un recours ». Ce qu’il trouve « aberrant » et scandaleux.
Taye d’avertir « C’est pourquoi, je voudrais interpeller hic et nunc les juges pour leur dire de prendre leurs responsabilités devant l’histoire et de ne point commettre d’erreurs qui seraient fatales à la stabilité de notre pays ».
Selon lui, « Aujourd’hui, la loi de notre pays permet à Khalifa Ababacar Sall de se présenter à l’élection présidentielle de février 2019. Alors que les membres du Conseil constitutionnel respectent leur serment et refusent systématiquement les pressions d’où qu’elles proviennent, fussent-elles du Président de la République ou de son ministre de la Justice »
Raison Pour laquelle, selon lui « ils cherchent à tracer la voie au Conseil constitutionnel en prétendant que seuls les candidats admis peuvent faire un recours ». Ce qu’il trouve « aberrant » et scandaleux.
Taye d’avertir « C’est pourquoi, je voudrais interpeller hic et nunc les juges pour leur dire de prendre leurs responsabilités devant l’histoire et de ne point commettre d’erreurs qui seraient fatales à la stabilité de notre pays ».
Selon lui, « Aujourd’hui, la loi de notre pays permet à Khalifa Ababacar Sall de se présenter à l’élection présidentielle de février 2019. Alors que les membres du Conseil constitutionnel respectent leur serment et refusent systématiquement les pressions d’où qu’elles proviennent, fussent-elles du Président de la République ou de son ministre de la Justice »
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